On m’a déjà proposé d’être le propriétaire de certaines de ces équipes, et puis j’ai décliné ces offres. Mais encore une fois, j’aime tellement ce sport. Je connais ce sport. Je connais les joueurs. Je connais les agents. Ce qui est bien avec moi, c’est que je suis là où je sais ce qui marche. Je sais à quoi ressemble une équipe gagnante qui a sa place dans le championnat. Donc je sais comment parler aux joueurs — vous n’avez qu’à demander à Julius Randle et à Lonzon Ball et tous ceux-là, parce que j’aime les voir avancer et réussir si bien, et donc les aider à atteindre leur meilleur potentiel. C’était ça mon rôle, et après tu les vois y arriver. C’était vraiment bien de voir ça.

Rétrospectivement, y a-t-il des choses que vous auriez fait différemment à la direction des Lakers?

Non, j’avais un plan en tête. On était au dessus du plafond salarial. Mon plan était de nous faire passer ce plafond. On y est arrivé. J’ai dû faire des choix difficiles. Julius était en train de monter. Je sais que Larry Nance Jr. était en train de monter, donc on a dû prendre des décisions difficiles qui leur allaient, mais qui allaient aussi aux autres Lakers. Donc je ne pouvais pas leur signer ces rallonges parce que je savais que LeBron était en train de monter, et Kawhi Leonard et tous ces gars-là, donc j’essayais de réserver un peu de ce plafond, pour pouvoir signer une de ces superstars, parce qu’on ne peut pas gagner un championnat sans superstar. Au final, on a fait les choses comme il fallait.

La seule chose que j’aurais peut-être dû faire, c’était peut-être de parler à LeBron avant de démissionner, parce que je sentais que je lui devais ça, donc je dirais que c’est peut–être la seule erreur que j’aie faite, de ne pas avoir parlé à Jeanie ni parlé à LeBron avant les faits. Oui, ça je ne le referais pas pareil.

LeBron James est arrivé à Los Angeles tard dans sa carrière. Qu’est-ce qu’il peut faire pour gravir les échelons et devenir un des plus grands Lakers de l’histoire?

La réponse, vous la connaissez: gagner, c’est tout. Il faut qu’il en gagne un autre. Les fans des Lakers l’adorent déjà. Il nous en déjà gagné un. Il a déjà son maillot, qui sera accroché, mais la plupart des gars qui sont chez les Lakers ont gagné plusieurs championnats. C’est tout ce qu’il a à faire. En gagner un autre, c’est tout. Parce qu’après, il ne s’agit pas juste des Lakers. Il s’agit de l’héritage qu’il laisse ici, et c’est pas seulement ici — c’est à Hollywood aussi. LeBron, il est tellement extraordinaire, et pas uniquement comme joueur de basketball: c’est la plus grande célébrité dans la ville de la célébrité. Il faut lui reconnaître ça, aussi.

Source: | This article originally belongs to Nytimes.com

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *

You May Also Like

White House announces $10B vaccine access effort aimed at hard-hit communities

WASHINGTON — The White House announced Thursday that it will direct $10…

Stolen box of human heads investigated by Denver police

DENVER — Denver police are investigating the theft of a box containing…

Boeing’s Dreamliner Pain Spreads To Suppliers

Boeing Co. BA -1.44% ’s manufacturing problems with its 787 Dreamliner are…

Ukraine strikes the headquarters of Russia’s Black Sea Fleet in Crimea

Ukraine carried out a fiery missile strike Friday on the main headquarters…